31.7.07

Marie tu ne vas pas être contente


Dernier CD d'Emmanuel Rossfelder paru en novembre 2006, dédicacé pour Philippe et sa merveilleuse équipe. Ce CD vient d'être sélectionner pour représenter la France à Amsterdam au Concours Mondial du meilleur enregistrement technique.

En février 2004, les Victoires de la Musique ont distingué le guitariste Emmanuel Rossfelder dans la catégorie « Révélation soliste instrumental ».

* Courte biographie en cliquant sur le titre

30.7.07

Jazz in Marciac

Jazz in Marciac , rendez-vous incontournable de l’été, se devait de célébrer avec faste son trentième anniversaire.
Retransmission en direct sur France Inter à partir de 22h10.

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Pour Brigitte, Jacques
et les autres qui hésitent encore.

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Dédicaces



La beauté appelle la beauté... Toukours inspirant de jouer au milieu des merveilles de la nature, avec en bonus une baignade nocturne pendant la symphonie de Mozart !... Merci pour ce moment rare. Franck Braley, pianiste.

Merci à tous les bénévoles de ce festival incroyable. Le lieu respire ! On se demande en tant que chef s'il ne faudrait pas changer le tempo pour s'adapter au bruit des cigales... Dankeschön. Merci infiniment. Graziella, direction de l'orchestre des Pays de Savoie.

Dédicace du livre du Xème festival, destinée à Philippe Piroud.
(cliquer sur l'image)

Pour Simon et tous les bénévoles 2006

Bonjour Simon,

Tu nous manques bien sûr, comme Clarice évidemment, et toute la bande que tu entraînais avec toi.
J'espère en tous cas que tu profites de tes vacances.
Amicalement,
Gourgounel.



(Simon Piroud fut le régisseur du festival jusqu'en 2006)

Vous souvenez-vous... les contrebasses en 2006

Pour le son branchez la chaine HiFi si possible.

3 superbes photos de l'Orchestre des Pays de Savoie


Direction Mark Forster


Emmanuel Rossfelder


Photos Philippe Fournier (photographe attitré du festival)

28.7.07

La répétition

D’Aranjuez à Jeux interdits

Ce vendredi 27 juillet, dans le cadre du festival Labeaume en Musiques, Mark Foster dirigeait l’Orchestre des Pays de Savoie.

D’entrée de jeu, il avait prévenu : ce programme dédié à l’Espagne n’éviterait pas la carte postale et ce fut le cas dans la première danse de Rodrigo puis dans Espana de Waldteufel.

Mais il en fut tout autrement avec les 14 danses (*) de José Evangelista, mêlant ballades et sévillanes, influences arabo-andalouses et réminiscences d’Europe centrale.

La prière du torero de Joaquin Turina évoquait encore davantage la complexité espagnole : prière et rêve, tumulte des arènes et vastes prairies, beauté du taureau et sang sur le sable.

En seconde partie de concert, le guitariste Emmanuel Rossfelder interprétait le concerto d’Aranjuez de Joachim Rodrigo dont le sublime adagio nocturne est dans toutes les mémoires.


Petite surprise finale, après une très virtuose « Grande Jota » de Francisco Tarrega,...

... Emmanuel Rossfelder et l’Orchestre des Pays de Savoie faisaient cadeau au public d’une très hollywoodienne orchestration qu’Alexandre Lagoya avait consacré à… « Jeux Interdits » !


Un cours extrait de la fin de soirée pour patienter.
Dire qu’on l’avait oublié…


Jean Ferole


* Voir les commentaires

Prochains concerts :
Emmanuel Rossfelder et l'Orchestre des Pays de Savoie se produisent ce soir, 28 juillet aux 37e nuits Musicales d'Uzès.

Orchestre des Pays de Savoie. Graziella Contratto, 2006.

Nous avons commençé à Labeaume en 1998 avec François-René Duchable, puis Michel Portal en 1999, Didier Lockwood en 2000. Bernard Yanotta en 2003. Graziella Contratto jouera en 2006...
Quand Philippe Piroud nous a invité pour la première fois, l'idée nous a immédiatement enthousiasmés, même si les musiciens ont été plus circonspects à l'idée de jouer en plein air, car ils craignaient pour leurs instruments.
Mais finalement, la magie du lieu, l'accueil de tus ceux qui étaient là en train de mettre la dernière main à un dispositif scénique qui n'état pas évident, a donné un concert qui a été à la hauteur de ce que nous espérions tous.
Et ça, c'est la magie de Labeaume.

Odile OLLAGNON
Directrice administrative de l'Orchestre des Pays de Savoie.
in LABEAUME EN MUSIQUES. Regards sur un festival en territoire rural. Marie-Claude Bernard, André Julliard.
(livre publié à l'occasion des dix ans du Festival, en vente à la boutique du festival).

L'orchestre des Pays de Savoie au Théâtre de verdure.


Graziella Contratto a succédé à Mark Fortser en septembre 2003 à la direction de l'Orchestre des Pays de Savoie. Cet orchestre est invité à se produire dans des salles prestigieuses, telles que l'Amphithéâtre de l'Opéra Bastille, la Cité de la Musique à Paris, le Victoria Hall à Genève, la Kapella de Saint-Petersbourg, la salle Rachmaninov à Moscou, le théâtre Mohammed V à Rabat...





Cliquer sur la photo pour voir les détails
Photos P. Fournier / Labeaume en Musiques

Jeudi soir Eglise de Labeaume

La Renaissance est une légende

Musica Nova. Tel est le nom de l’ensemble de musiques anciennes qui se produisait jeudi 26 juillet à l’église du village dans le cadre du festival « Labeaume en Musiques ».


Des voix à tutoyer les anges… Une mise en place vocale et instrumentale à vous laisser pantois. Certes, le programme exécuté ne correspondait qu’en partie à celui annoncé, mais comment en vouloir à qui offre de tels moments de grâce. Cerise sur le gâteau, Musica nova nous gratifiait, volontairement ou non, d’une mise au point historique : en musique, la Renaissance est une légende !


Le programme du concert couvrait en effet deux siècles de compositions, depuis l’Ars Nova de Guillaume de Machaut au milieu du 13ème siècle, jusqu’à Josquin des Pré contemporain de François 1er.


S’il est évident, à l’écoute, que durant ces deux siècles la polyphonie se complexifie, on ne peut parler de rupture mais plutôt d’évolution. Coups de cœur du jour : « Nymphe des bois » de Josquin des Prés et les superbes chansons françaises d’Alexandre Agricola.


Prochains concerts :
jeudi 2 août à 21 h 30 au Théâtre de verdure, « Ô ma Carmen » par les solistes et l’ensemble instrumental de Lyon-Bernard Tétu ;
vendredi 3 août à 21 h 30 au Clos du Burnou, les sextuors à corde de Brahms par l’ensemble Ricercare.
Renseignements et réservations dans les offices de tourisme et au bureau du festival (Draille des écoliers, 07 120 Labeaume, tél. 04 75 39 79 86).

Jean Férole (texte et photos)

26.7.07

Pelleteuse mon amour.


Etre ému par une pelleteuse ! A priori cela semble impossible. C’est pourtant ce qu’ont ressenti les centaines de spectateurs de « Labeaume en Musiques » rassemblés mercredi 25 juillet dans les carrières de marbre de Labeaume où la compagnie de danse contemporaine Beau Geste présentait « Transports exceptionnels », le ballet du chorégraphe de Dominique Boivin.
Le thème ? Les amours tumultueuses entre un danseur, Philippe Priasso, et une pelleteuse virevoltant sous les mains expertes de William Defresne. Séduction et marivaudage, jalousie et rupture, tendresse et retrouvailles, on ne sait au bout du compte qui a gagné dans cette lutte amoureuse.
Un étonnant moment d’émotion et de poésie sur fond de Maria Callas.

En première partie, Didier Beauvalet et Marie-France Lancry avaient interprété « Chœur de pierre », un hommage visuel et sonore au monde minéral de Labeaume. Des chocs de pierres qui composaient une chorégraphie sonore ; des percussions de marbre à 4 mains, faites de sons frappés, frottés, effleurés, répétés, sur fond d’enregistrements retravaillés du même matériau.


Au bout du compte, une richesse sonore insoupçonnée. Belle carrière !
Jean Férole (texte et photos)
Trois rendez-vous au programme de la deuxième semaine : mercredi 25 juillet à 19 h 30 et 21 h 30 aux anciennes carrières, spectacle de danse avec la compagnie « Beau geste ». Jeudi 26 juillet à 21 h 30 à l’église de Labeaume, Musica Nova : polyphonies du Moyen Age. Vendredi 27 juillet à 21 h 30 à la « Blache du Père Justin », Emmanuel Rosfelder (guitare) et l’Orchestre des pays de Savoie.
Renseignements et réservations dans les offices de tourisme et au bureau du festival (Draille des écoliers, 07 120 Labeaume, tél. 04 75 39 79 86).

Bon anniversaire Jeannot

Souvenez-vous, en 2006, pour le 10e anniversaire


Il ne faut pas avoir peur de mouiller la chemise ou plutôt le Tee-shirt.
Mais Urz Karpatz, passera à travers les gouttes ce soir là.




Photos Labeaume en Musiques / P. Fournier



La Turlure, bourrée à craquer malgré les risques de la pluie qui finira par abandonner le site sans perturber la soirée.




Retour en images sur la soirée.

Ils étaient aussi venus le 15 août 2003 au Rocher des curés.

23.7.07

Compagnie Beau Geste, mercredi 25 juillet 2007

19h 30 et 21h30
Anciennes carrières (apporter sa chaise ou son coussin)
Compagnie Beau Geste, Dominique Boivin

1ère partie :
un conte électroacoutisque réalisé en direct et orchestré par Didier Beauvalet

2ème partie :
Duo pour un danseur et une pelleteuse, sur une bande son : Maria Callas chante Bizet

Danseur, Philippe Priasso
Pelleteuse, Eric Lamy
Chorégraphie, Dominique Boivin assisté de Christine Erbé


+ d'infos

Tarif de 8 à 16 euros

Compagnie Beau geste, Dominique Boivin

La compagnie Beau Geste est créée en 1981 par 7 danseurs issus du Centre National de Danse Contemporaine et dirigée par le chorégraphe américain Alwin Nikolaïs. Sous la forme d’un collectif artistique où s’échangent différents points de vue esthétiques –chaque danseur étant alternativement chorégraphe ou interprète –Beau Geste développe à travers ses créations collectives ou individuelles un état d’esprit commun nourri par la diversité des potentiels artistiques des membres qui le composent. En 1991, la direction artistique est confiée à Dominique Boivin, Christine Erbé et Philippe Priasso assumant des responsabilités distinctes mais toujours partagées au sein du trio.
En poursuivant sa démarche –mettre en avant la personnalité du danseur et le mouvement qui lui est propre– la compagnie s’aventure dans des modes de représentations multiples : solos, cabaret, revue, conférences dansées... occasions d’affirmer son goût pour la diversité, la distance et
l’humour.

Dominique Boivin, issu d’une formation classique, commence la danse contemporaine avec Carolyn Carlson et poursuit avec Alwin Nikolaïs. Il obtient en 1980 une bourse d'étude de deux ans pour une formation à New York où il suit les cours de Merce Cunningham et de Douglas Dunn. Son passage à Angers lui permet aussi de rencontrer plusieurs danseurs avec qui il crée Beau Geste en 1981.
Il va dès lors mêler interprétation chez Philippe Decouflé, chez Daniel Larrieu et création chorégraphique de solos, de pièces pour Beau Geste ou pour d'autres groupes. Cette grande activité est le reflet d'un art touche à tout et de la bricole heureuse, la
danse pour lui s'accompagnant surtout d'un imaginaire, d'une mise en images inventive, loufoque, drôle, car l’humour n’est pas chez lui synonyme de légèreté, c’est, quel que soit le sujet, un moyen de faire partager une profonde sensibilité.

Ensemble Ricercare, Musica Nova, Jeudi 26 juillet 2007

21h30, Clos de Burnou
Ensemble Ricercare

Voix, Christel Boiron, Marie-claude Vallin, Marc Busnel, Lucien Kandel, Thierry Peteau, Guillaume Olry
Vièle à archet, Pau Marcos
Organetto, Freddy Eichelberger

Musica Nova

Musica Nova vous présente un parcours musical et poétique allant de la fin du Moyen-Age à l’aube de la Renaissance. Une large place est accordée à Guillaume de Machaut, considéré comme l’un des derniers troubadours et des rares compositeurs - poète de l’histoire de la musique : la forme musicale s’inscrit dans la forme poétique, particulièrement dans ses ballades où l’ « Amour courtois » demeure le principal sujet. Son œuvre conservée dans de sublimes manuscrits enluminés nous touche tant par sa qualité artistique que par son incroyable modernité.

Un détour en Italie permettra d’apprécier dans le discours musical, les influences de l’Humanisme naissant. Matteo da Perugia rendra hommage à Machaut dans sa ballade « Se je me pleing », et citera directement celle que nous chanterons « De Fortune me doit pleindre », combinant dans un style sublime et raffiné, toutes les richesses de l’ « Ars Nova » et les innovations extravagantes voire spéculatives de l’ « Ars Subtilior ». Le Manuscrit de Chypre et celui de Chantilly contiennent les plus belles pages
de cet art subtil ; le fameux « Fumeux fume par fumée », étrange composition de genre chromatique qui traduit à merveille l’univers des cercles de fumeurs.

Dufay, Ghizeghem et Agricola nous mènerons vers de nouveaux horizons, les chemins de la Renaissance. La musique profane se développe davantage grâce aux mécènes que sont les rois, ducs, princes...et résonne dans les cours et les salons des palais. Les monarques se disputent les meilleurs chanteurs : le Duché de Bourgogne accueillera nombre de ces musiciens. La chanson du XVè appelée aussi chanson bourguignonne est une composition écrite à 3 voix : « De tous bien plaine » est peut-être la plus célèbre puisqu’il en existe pas moins de trente versions d’auteurs différents. Véritable « tube » de l’époque, les variations de ce rondeau nous montrent à quel point on aimait reprendre un thème et l’enrichir avec de nouveaux contrechants. C’est ainsi qu’Agricola à son tour écrira sa version, et plagiera aussi Jean Ockeghem avec « Je n’ai deuil », copié dans l’Album de Marguerite d’Autriche.

Pour colorer ce programme, nous nous plongerons dans le manuscrit de « l’Escorial » où se côtoient à parts égales des pièces en français et en italien, d’une écriture plus verticale et d’un contenu plus populaire mais
néanmoins aussi bien élaborées.

Enfin, nous ne résisterons pas à la tentation de saluer ce grand compositeur, Josquin des Prés, avec sa déploration sur la mort d’Ockeghem.

Orchestre de Pays de Savoie , 27 juillet 2007

Vendredi 27 juillet - 21 h 30
La blache du père justin

Propos d’avant concert à 20h45 sur place

Orchestre des Pays de Savoie
Mark Foster, direction

RODRIGO : 2 danses espagnoles
TURINA : Prière du torero
EVANGELISTA : Airs d’Espagne
WALDTEUFEL : España
RODRIGO : Concerto d’Aranjuez

+ d'infos

L’orchestre de Pays de Savoie sous la direction de Mark Foster justifie la réputation qui le situe parmi les meilleurs ensembles du genre en Europe. Avec sa jeunesse et sa fougue Emmanuel Rossfelder défend avec passion un instrument dont les cordes expriment, sous ses doigts inspirés, les émotions les plus intenses.

L’orchestre et le guitariste s’associe pour un voyage... en Espagne. Témoin de noces musicales entre la France et l’Espagne, ce programme allie le populaire et l’aristocratie, les chants de travail, berceuses, danses, prières espagnoles et le néoclassicisme élégant du voisin français tellement cher aux compositeurs ibériques.

« L’extase de la musique espagnole tient à l’intensité de la musique folklorique de ce pays (flamenco). Si Rodrigo a au contraire utilisé des ressorts de légèreté dans sa composition, c’est justement pour trouver
une liaison entre l’intensité de la musique et l’intervention de la danse.

Il se dégage des œuvres de ces compositeurs espagnols une sorte d’impressionnisme lié à l’admiration de ceux-ci pour les français. Nous interprèterons, avec le fabuleux guitariste Emmanuel Rossfelder, le concerto le plus connu pour guitare et orchestre. C’est une anecdote qui me rattache particulièrement à ce concerto : quand j’avais 14 ans, j’ai participé à un camp d’été et j’y ai joué dans un orchestre de jeunes qui
accompagnait ce concerto. J’étais toujours très heureuse pendant le deuxième mouvement, le souvenir en reste très marquant. Le guitariste était allemand. C’était l’été, j’étais pieds nus, et pour m’éviter de marcher ainsi, un jour, le guitariste m’a portée sur quelques mètres, quelle émotion ! Voici à quoi tiennent parfois les passions musicales... »
G. Contratto

Orchestre des Pays de Savoie


Crée en 1984 avec le soutien de l’assemblée des Pays de Savoie, de la Région Rhône-Alpes et du Ministère de la Culture, l’orchestre des Pays de Savoie est la concrétisation fructueuse entre les départements de la
Savoie et de la Haute-Savoie, où il donne la majorité de ses concerts.

Depuis sa création, se sont succédés à la direction musicale, Patrice Fontanarosa, Tibor Varga, Mark Foster et aujourd’hui Graziella Contratto.

Devenue Directrice musicale de l’Orchestre des Pays de Savoie en septembre 2003, elle poursuit l’œuvre entreprise et élargit le répertoire de la période baroque au XXIè siècle. Sous l’impulsion de ses chefs d’orchestre successifs, l’Orchestre des Pays de Savoie est devenu l’une des formations françaises les plus dynamiques.

Mark Foster, direction
Directeur de l'Orchestre des Pays de Savoie pendant 10 ans, premier chef invité et consultant à la Villa Médicis à Rome depuis 1997, il est nommé chef principal invité de l'Orchestre de Caen depuis septembre 2000.

Auparavant, il a collaboré en concert ou à l'Opéra (Berlin, Zürich, Lyon) avec Guiseppe Sinopoli, Daniel Barenboïm, Ferdinand Leitner, Jésus Lopez-Cobos, Heinrich Hollreiser, Armin Jordan, Peter Eötvös, Emmanuel Krivine...

Emmanuel Rossfelder, guitare
Emmanuel Rossfelder débute la guitare dès son plus jeune âge et obtient à 14 ans la Médaille d'Or à l'Unanimité avec les félicitations du jury au Conservatoire National d'Aix-en-Provence. Il est ensuite reçu dans la prestigieuse classe d'Alexandre Lagoya au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Ses 1er Prix à l'unanimité lui sont décernés alors qu'il n'a pas encore 18 ans. Dès lors, d'importants Festivals
Internationaux l'invitent en récital ou en soliste accompagné par de grands orchestres : Auvers sur Oise, Festival International du Jeune Soliste, Flâneries Musicales de Reims, Strasbourg, Fenetrange, St Denis de la Réunion, Septembre Musical de l’Orne, Toulouse, Boston, Philadelphie, New-York, Los Angeles ...

Il remporte en 2004 "Les Victoires de la Musique Classique" dans la catégorie "Révélation Soliste Instrumental de l'Année.

à venir

Petits problèmes techniques pour la musique, j'y travaille...
Vous pouvez donner votre avis en participant au sondage (en haut à droite).

21.7.07


Valery Imbernon, propos d'avant-concert
sur le clavier bien tempéré de Bach


Attiré dès son plus jeune âge par la Musique, Valéry IMBERNON commence par l’apprentissage du piano, « faute de professeur de harpe… ». Connaissant un véritable coup de foudre pour l’orgue, il travaille avec Bernard Teulon, René Saorgin, Marie-Claire Alain, André Isoir, Philippe Bouvard, Olivier Latry et Michel Chapuis.
Il conclut ses études musicales par deux Prix du CNSM de Paris, en Orgues et en Musique de Chambre (Clavecin).
Son itinéraire de concertiste le conduit tour à tour à participer à la création d’un oratorio contemporain à Gdansk, à donner un concert humanitaire à Nouakchott, à tenir la partie d’orgue dans le Requiem de Liszt et à se produire à de nombreuses tribunes françaises.
Après avoir été titulaire de deux paroisses parisiennes et suppléant du Val-de-Grâce, il est actuellement l’organiste de St Thomas de Privas et le responsable des orgues de la Cathédrale de Viviers, tout en étant enseignant au sein de l’école départementale de musique et de danse de l’Ardèche.
Ayant participé à l’enregistrement de deux CD, Valéry IMBERNON dirige le groupe vocal 7 de Chœur et reste l’accompagnateur du chœur féminin Elégie d’Aubenas. Travaillant avec de nombreux chœurs et des formations orchestrales reconnues, il est fréquemment invité à donner des récitals.


Elle n'est pas belle notre Jackie avec sa sacoche.
Attention au dos, Jeannot !

Zhu Xiao Mei a Labeaume


En voyage avec Bach
Ecouter Bach interprété par Zhu Xiao Mei, c’est accomplir un étonnant voyage. C’est accepter que la rigueur mathématique du maître de Leipzig cache une infinité de paysages, de sentiments, de personnages que l’exceptionnelle interprète qu’est Zhu Xiao Mei, s’approprie et révèle avec légèreté et précision.

Ce vendredi 20 juillet dans la nuit de Labeaume, ils étaient plus de 300 à suivre ce voyage. De la sérénité nostalgique du prélude et de la fugue n°8, aux pirouettes des petites pluies de printemps du prélude et de la fugue n° 11.

Des cavalcades espiègles et des rondes de dentellières du prélude et de la fugue n°9, au prélude et à la fugue n°10 interprétés gravement, tragiquement comme une montée au calvaire.

Une soirée de pure beauté, conclue en seconde partie par la sonate en si bémol majeur D 960 de Schubert, composée deux mois avant sa mort et dans laquelle le mélancolique deuxième mouvement demeure l’une des plus belles oeuvres pour piano que l’on puisse entendre.

C’était dans le cadre du festival « Labeaume en Musiques ».

JEAN FÉROLE





Répétition de Zhu Xiao Mei toute la matinée à l'église et ce soir au théâtre de verdure.


A noter. Zhu Xiao Mei jouera à l'abbaye de Silvacane, dans le cadre du festival international de piano de la Roque d'Anthéron, le 25 et le 26 juillet à 18h.


Il y a une tâche, si là, je te le dis preuve à l'appui...


Il faudra que je vous parle des partenaires du festival. C'est une nouveauté 2007.

Zhu Xiao Mei…


recrute !


La pianiste, Zhu Xiao Mei, cherche un bénévole (encore un) pour lui tenir ses partitions, car il y a un peu de vent ce soir par moment. Il n'y a pas de problème, car elle dit quand il faut tourner les pages (en français). Et puis ça amuse le public. Rires !

Un petit coucou de Jacques, venu en touriste cette année. Pas tout à fait quand même puisqu'il est allé cherché notre artiste au TGV. Et comme il y a beaucoup de chinois sur la planète, cela peut présenter quelques difficultés, n'est-ce pas Jacques ? ;-)


Gilles, accroche-toi à la lumière, je prends l'échelle (air connu...)


Maguelonne propose le programme de la soirée. Bénévole depuis déjà 4 ans, elle préfère néammoins tenir la caisse de la buvette, car elle a une calculette dans la tête, selon ses dires.


Tu n'as pas le vertige, là-haut Gilles ?

On frotte (vous savez la tâche), on accorde...


Gilles termine les essais de lumière


Tout est prêt, place à la musique
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